Newsletter : restons en contact

Des affaires à saisir dans les grandes métropoles

Titre article

Des affaires à saisir dans les grandes métropoles

Actualités
Publié le 11/02/2013 - Mis à jour le 11/02/2013

Des affaires à saisir dans les grandes métropoles

 

C’est souvent dans les conjonctures les plus délicates que l’on trouve les meilleures opportunités. En effet, à l’heure où les acquéreurs se montrent plus frileux, les banques n’ont jamais proposé de taux aussi bas, tandis que les prix poursuivent leur chute, tout particulièrement dans les grandes métropoles dynamiques, pourtant fortement recherchées.

Le courtier Meilleurtaux.com a eu la bonne idée de mesurer le pouvoir d’achat immobilier en ce début d’année 2013 : et le résultat est plutôt positif pour les acheteurs. En effet,  les taux d’emprunt poursuivent leur baisse enclenchée depuis un an, tandis que les prix du m2 suivent la même tendance un peu partout sur le territoire. Au niveau national, si en janvier 2012 on pouvait compter sur des taux sur 20 ans à 4,50%, un an plus tard, les acquéreurs bénéficient dans les mêmes conditions d’emprunts à 3,70%. Une chute vertigineuse qui permet, associée à la baisse des prix globalisée, de faire de bonnes affaires. Tout particulièrement dans certaines grandes métropoles, si l’on en croit le baromètre Meilleurtaux.com. Ainsi, à Marseille, les acquéreurs peuvent emprunter 18 238€ de plus qu’il y a un an, soit acheter 12m2 en plus. A Montpellier, même tendance : les acquéreurs gagnent 5m2, ou encore à Strasbourg, où le gain est de 6m2. Lille n’est pas en reste, avec 8m2 supplémentaires, aussi bien que Bordeaux et Toulouse, qui gagnent respectivement 5 et 6m2. Enfin, contre toute attente et malgré la stabilité de ses prix, qui restent élevés, la capitale bénéficie d’un pouvoir d’achat en hausse de 12075€, soit 1m2. Une évolution positive du pouvoir d’achat logique, dans un contexte où les prix au niveau national, ont perdu 1,5% en 2012, et qui permettent de profiter d’une embellie du pouvoir d’achat y compris dans les zones les plus recherchées que sont la capitale, mais aussi les grandes métropoles dynamiques, où les prix n’ont fait qu’augmenter ces dernières années. Côté perspectives, la situation n’est pas amenée à durer selon certains prévisionnistes, qui annoncent la remontée prochaine des taux d’intérêts, due aux difficultés économiques, ainsi que la quasi stabilité des prix immobiliers dans les grands centres urbains, due à la demande toujours en hausse face à ces zones qui restent des bassins d’emploi.