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Conseiller transaction : un métier très évolutif

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Conseiller transaction : un métier très évolutif

Nos Métiers
Publié le 06/09/2016 - Mis à jour le 06/09/2016

Conseiller transaction : un métier très évolutif

Sur le papier, un conseiller transaction a de belles perspectives en termes d'évolution et de salaire. Mais dans la pratique, quelles sont les contreparties de ce métier exigeant? Les réponses de Charles, qui travaille au sein du réseau Guy Hoquet depuis 5 ans.

 

«, De conseiller débutant, vous pouvez devenir conseiller confirmé puis directeur des ventes et accéder ensuite à un poste de directeur d'agence salarié… en attendant de créer votre propre agence en franchise »,. C'est l'évolution décrite dans la fiche métier «, Conseiller Transaction », dans le réseau d'agences Guy Hoquet. Et c'est le parcours parcouru en partie par Charles Chrétien, en poste au sein de l'agence Guy Hoquet d'Oullins depuis maintenant 5 ans. «, Je suis récemment passé responsable des ventes, se réjouit-t-il. Cela s'est fait de faç,on assez naturelle »,.

De faç,on assez naturelle certes mais non sans beaucoup de travail. «, J'étais commercial dans le secteur de l'automobile auparavant, raconte Charles. J'ai donc eu besoin de me former à ce nouveau métier. J'ai suivi des formations au sein de la Business School Guy Hoquet et j'ai également beaucoup appris sur le terrain »,. Et du terrain il ne faut pas avoir peur d'en faire : «, La prospection… ce n'est pas ce que je préfère reconnaî,t Charles, mais il faut en faire »,. Lui ce qu'il préfère, c'est la négociation : pour décrocher un mandat, exclusif de préférence. Et pour permettre aux acquéreurs et aux vendeurs de trouver un terrain d'entente. «, Rien n'est jamais acquis, il faut ê,tre capable de gérer une certaine pression »,, reprend-il.

Autre plus du métier : l'autonomie. Pas d'horaires fixes à respecter, on peut organiser son emploi du temps à sa guise… Tout en étant à disposition des clients évidemment. Comprenez : ne pas avoir peur de travailler le soir et le week-end, lorsque les vendeurs et les acquéreurs sont disponibles.

Mais cette disponibilité offre bien des satisfactions : «, Je me souviens d'un couple qui voulait acheter mais avait des difficultés à obtenir un financement car Monsieur avait des problèmes de santé raconte Charles. Ils étaient tellement heureux quand ils ont fini par devenir propriétaires qu'ils sont venus me remercier chaleureusement et m'ont invité à leur crémaillère. »,  

La récompense est également financière : «, Si la première année un conseiller gagnera de 1500 à 2000 euros, sa rémunération peut augmenter fortement ensuite… Tout dépend du nombre de mandats que l'on est capable de rentrer, il n'y a pas vraiment de limite »,, assure Charles.